Maghreb
L’Algérie peine à améliorer son offre de soins
La construction annoncée de nouveaux hôpitaux n’avance pas.
La construction annoncée de nouveaux hôpitaux n’avance pas.
Dans de nombreuses régions algériennes, les habitants souffrent d’un manque d’accès aux soins. Pour pallier ce déficit, plusieurs projets de construction d’hôpitaux avaient été annoncés. Mais, pour l’heure, aucun n’a vu le jour.
Parmi les infrastructures attendues, figure le réaménagement du service des soins intensifs de l’hôpital El Kettar, près d’Alger, ou encore du service des urgences médico-chirurgicales du Centre hospitalo-universitaire de Beni Messous. Sans oublier le centre spécialisé Salim-Zemirli, d’Alger.
De manière générale, les Algériens estiment qu’il n’y a pas assez de médecins dans leur pays, et que ces derniers sont de plus en plus mal répartis sur le territoire. Selon des chiffres officiels, le secteur public compte environ 40.000 médecins généralistes, 17.000 spécialistes et 120 000 paramédicaux.
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