Face à la flambée des contaminations au Maroc, la vaccination en direction des 18 ans et plus a démarré ce lundi 16 août.
Ils sont soumis à des cadences interminables depuis le début de la troisième vague de l'épidémie.
Une décision prise suite à la hausse considérable du nombre de cas d’infections et de décès ces derniers jours.
Crainte des effets secondaires, doutes sur la dangerosité de la maladie... Malgré l'arrivée récente de nouvelles doses, les habitants ne se bousculent -pas pour se faire...
Les deux pays ont relancé leur campagne tentent de pousser le maximum de personnes à se faire vacciner.
Les autorités affirment vouloir faire vacciner un maximum d'élèves et étudiants avant la prochaine rentrée scolaire.
Cela est dû à une forte consommation de sel et une hausse du tabagisme.
Les spécialistes ignorent encore le degré de contagiosité et de dangerosité de cette nouvelle souche.
Il s'agit d'une patiente arrivée de la Guinée voisine par la route.
L'OMS affirme que la surveillance des 150 cas contacts du premier patient décédé le 2 août se poursuit.
Le taux d'occupation des lits de réanimation est est désormais de 52%.
À cela s’ajoutent le manque d’oxygène, une pénurie d’eau et des incendies dévastateurs.
Les dépistage et traitement des cancers, en particulier chez l’enfant, ont été particulièrement touchés par la crise sanitaire.
La décision de vacciner les adolescents et due à l’ampleur du variant Delta au Maroc.