Si les indicateurs épidémiologiques dans le pays sont stables, certains signaux commencent à inquiéter.
62 % d’individus sondés déclarent être disponibles à se vacciner.
Il est possible que ce variant échappe aux dépistages classiques de type PCR.
Un choix justifié par l'absence d'incident majeur au Maroc, et le manque d’unanimité au sein des agences spécialisées.
Le royaume représente 94 % des doses de vaccins anti-Covid administrées sur le continent.
Cette campagne souligne la nécessité d’une action mondiale coordonnée pour garantir l’accessibilité aux vaccins dans tous les pays.
Les centres de santé sont dépourvus de moyens de prévention et de soins.
La campagne a commencé avec l’administration de l'AstraZeneca produit en Inde.
Les premiers bénéficiaires sont les personnels soignants.
L'objectif est de se prémunir contre d'éventuelles ruptures de stocks.
La décision fait suite aux risques d'effets secondaires graves signalés dans plusieurs autres pays.
Une décision qui intervient au moment où le vaccin AstraZeneca est très controversé.
Au 9 mars, le royaume avait administré 12,8 doses pour 100 habitants contre 8,8 doses pour 100 habitants en France.
Certains pays jugent le débat un peu prématuré.