Le taux de prévalence est passé de 0,7% en 2005 à 0,3% en 2020.
Malgré une perte considérable de financement, elles contribuent à faire reculer la maladie.
Aujourd'hui, seulement 5,7 % de la population dispose d'un schéma de vaccination complet.
Malgré l'amélioration enregistrée, le pays n'est pas à l'abri d'une nouvelle flambée de cas de contamination dans plusieurs pays du monde.
Des besoins urgents se font sentir en gynécologie-obstétrique, radiologie, anesthésie et réanimation.
En RDC, on estime que 4 000 à 5 000 enfants sont touchés par le cancer chaque année.
Certains pays comme le Kenya, le Rwanda et l'Afrique du Sud connaissent des retards dans la réception des fournitures de vaccins.
La maladie semble plus susceptible d'apparaître lors d'épisodes de stress sévère.