L'OMS en appelle à la solidarité internationale.
Une récente étude présentée à la Société américaine de Cardiologie soutient cette hypothèse.
L'instance devra effectuer le suivi des effets secondaire des médicaments et des vaccins.
Sur le continent, 48 % de la population est incapable d’accéder aux services de santé dont elle a besoin.
Malgré leur interdiction dans le pays, ces produits nocifs continuent d'être utilisés.
Soit une cible de 2,1 millions de Marocains et de Marocaines, selon le Haut-Commissariat au Plan.
Les autorités comptent pour cela sur une baisse continue de la circulation du virus.
Une mission de coopération chinoise est en visite dans le pays à cette fin.