Cela serait dû en grande partie aux mariages précoces.
Pour freiner la propagation du virus, les autorités ont mis en place des mesures valides jusqu’au 31 mai.
L'OMS en appelle à la solidarité internationale.
Une récente étude présentée à la Société américaine de Cardiologie soutient cette hypothèse.
L'instance devra effectuer le suivi des effets secondaire des médicaments et des vaccins.
Sur le continent, 48 % de la population est incapable d’accéder aux services de santé dont elle a besoin.
Soit une cible de 2,1 millions de Marocains et de Marocaines, selon le Haut-Commissariat au Plan.
Les autorités comptent pour cela sur une baisse continue de la circulation du virus.
Une mission de coopération chinoise est en visite dans le pays à cette fin.
Selon un sondage, près de 62 % de la population refuse de se le faire administrer.
Une étude de phase 3, soit la toute dernière avant une potentielle autorisation, devrait débuter dans les prochaines semaines.
Cette amélioration est due à la stratégie vaccinale et à la qualité de la prise en charge des malades.
Ils oscillaient entre une méconnaissance totale du virus et la peur de le contracter.
Les pays du G7 seraient en mesure de donner plus de 150 millions de doses afin de réduire en partie l'inégalité vaccinale.