Résultat d'une amélioration des soins maternels et néonatals.
Ils englobent des facteurs, tels que troubles digestifs et/ou cérébraux.
Ces effets sont généralement dus à une automédication inappropriée.
Cela fait suite à l'aggravation de la situation épidémiologique.
Le fonctionnement des hôpitaux risque d'en être perturbé.
Le développement d'une crise nutritionnelle est à craindre.
Ce qu'absorbe la mère peut être transmis au nouveau-né.
1 à 3 personnes sur 1000 dans le monde sont concernées.