Cela s’explique par la dégradation des conditions de l’exercice de la profesion en Algérie
Il est probable qu'une variante algérienne existe, mais le pays manque de moyens pour la détecter.
Des besoins urgents se font sentir en gynécologie-obstétrique, radiologie, anesthésie et réanimation.
Les faibles taux de vaccination et le relâchement de la population quant aux gestes barrières pourrait provoquer de nouvelles contaminations.
Comme dans plusieurs pays à travers le monde, la quatrième vague n'est plus un risque, mais une réalité à affronter.
La disponibilité de la radiothérapie est la seule garantie pour réduire le nombre d'ablations totales du sein.
Le couvre-feu nocturne encore en vigueur sur une partie du territoire pour endiguer la propagation de la pandémie de Covid-19 va être levé.
Le risque de déclenchement de la quatrième vague épidémique survient entre les mois de novembre et janvier, une période en où la propagation de la grippe...
La situation épidémiologique mondiale a eu un grand impact sur le volume de l'aide qui leur est destinée.
Les autorités appellent à la poursuite de la vaccination, qui reste le seul moyen d'endiguer la propagation du virus.
Une situation due au variant Delta qui demeure assez actif dans le pays.
Les contaminations demeurent sous la barre des 200 cas.
Cinquante mille nouveaux cas sont enregistrés chaque année en dans le pays.
À terme, l'Algérie produire près de huit millions de doses par mois.