Sexualité
En Afrique du Sud, comment l’amour et le sexe se marchandent
Un moyens pour les adeptes de dénicher des opportunités.

Le véritable amour est sans intérêt, dit-on. En Afrique du Sud, cela semble moins vrai. Les relations transactionnelles ont tendance à s’y multiplier, notamment dans des milieux étudiants. Certaines personnes y voient « un moyen d’atténuer leur pauvreté, trouver du travail, faire progresser leur carrière ou de débloquer des opportunités d’éducation », explique Theconversation.com. Le site ajoute que d’autres y trouvent juste de la satisfaction.
Les adeptes de l’amour et du sexe transactionnel, sont appelées Slay Queens. L’idée est simple et assumée: pour certaines femmes, mener une vie de luxe, entretenues par des hommes riches. C’est ce que détaille Dw.com dans un reportage sur le phénomène des sugar daddies.
En Afrique du Sud, le taux de chômage a atteint 32,9 % au cours des trois premiers mois de 2023, selon l’Agence nationale des statistiques. Cela expliquerait ce commerce du sexe et de l’amour. Pour certains observateurs, le sexe transactionnel rendrait plus vulnérable au VIH. La croissance de l’épidémie est l’une des plus fortes au monde. Plus de 4 millions de personnes y vivent avec le VIH.
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