Recherche
Comment notre cerveau peut nous faire aimer une musique (ou pas)
À l’écoute, il prédit en permanence ce qu’il va se passer ensuite.
Comment se fait-il qu’une musique nous plaise et une autre non? Que se passe-t-il dans notre cerveau en écoutant une musique, s’interroge TheConversation.com. En 2015, rappelle le site, Spotify publie en ligne une carte interactive des goûts musicaux en fonction des villes. Dans cette carte, on découvrait les goûts des auditeurs : à New York, The Chainsmokers sont en tête, Jeanne Added à Paris et Nantes et Jul à Marseille. On sait bien que les goûts musicaux évoluent au cours du temps et des régions, et même entre groupes sociaux. Pourtant, à notre naissance, nos cerveaux sont très similaires, alors, que se passe-t-il après?
Selon une étude publiée sur JNeurosci.org, lorsque l’on écoute de la musique, notre cerveau prédit en permanence ce qu’il va se passer ensuite. Ces prédictions sont différentes, selon d’où l’on vient et écouter une nouvelle musique engendre une capacité du cerveau de créer, défaire ou réorganiser les réseaux de neurones qui nous permet de mieux prédire de nouvelles musiques d’un genre similaire. Or, la façon dont nous prédisons des événements musicaux affecte directement le plaisir et les émotions que nous ressentons ainsi que certaines capacités cognitives comme la mémoire et l’attention. Ainsi, la musique à laquelle on a été exposée durant notre vie impacte la façon que l’on a de prédire et d’apprécier de nouveaux morceaux.
- Hygiène6 mois
Porter des sous-vêtements serait nocif pour les parties génitales
- Astuces7 mois
Bome François: ce que vaut le «roi des baumes» camerounais
- Société2 mois
Les barbechas tunisiens, débrouillards exposés à tous les dangers
- Nutrition4 mois
Le moringa contient deux fois plus de protéines que le yaourt
- Bien-Être21 heures
Zoom sur le boukhour, l’encens qui relaxe et apaise
- Société7 mois
Ces maux qui collent à la peau des albinos
- Sexualité3 semaines
Cristaux de menthe: pour plus de jouissance?
- Novembre bleu1 an
Cancer de la prostate: une activité sexuelle régulière suffit-elle à prévenir la maladie?