Le Sénégal connaît actuellement une épidémie de conjonctivite que pourrait aggraver le coronavirus.
En Afrique subsaharienne, le taux de traitement est inférieur à 20% dans certains pays.
Ils sont de plus en plus touchés par le variant Delta en forte circulation dans le pays.
Des théories plus folles les unes que les autres se multiplient quant aux éventuels effets indésirables.
La situation sanitaire s'améliore progressivement et les autorités envisagent d'alléger les mesures de restriction.
L'objectif est de contenir l'avancée du variant Delta dans le pays.
La région enregistre son plus grand nombre de décès dus au Covid-19 à un moment où flambent aussi des épidémies de choléra, d'Ebola et de maladie...
Les personnes contaminées dans les villages ont du mal à accéder aux soins nécessaires.
Ils sont soumis à des cadences interminables depuis le début de la troisième vague de l'épidémie.
Les spécialistes ignorent encore le degré de contagiosité et de dangerosité de cette nouvelle souche.
L'OMS affirme que la surveillance des 150 cas contacts du premier patient décédé le 2 août se poursuit.
À cela s’ajoutent le manque d’oxygène, une pénurie d’eau et des incendies dévastateurs.
Trois traitements seront testés : l'artésunate, l'imatinib et l'infliximab.
A elle seule la région a enregistré le lundi 9 août 883 nouveaux cas.
Les conséquences de son usage sur la santé sont méconnues du public.
Elles sont menacées par les pesticides.
Interdite dans plusieurs pays, sa consommation ne fait que progresser.
Cet encens naturel utilisé dans les rituels de purification dans de nombreuses cultures orientales.