L’agression sexuelle filmée à l’encontre d’une jeune femme marchant dans la rue à Tanger (Maroc) a provoqué une vague d’indignation au sein de la société.
Si certains ne veulent se faire vacciner par choix, d’autres ne peuvent se faire vacciner, en raison de contre-indication.
Une attitude alimentée par des préjugés entretenus par cette population semi-nomade du sud-ouest du pays.
Les autorités dans divers pays déploient des mesures pour y faire face.
Pour les associations, cela présente un risque sanitaire important.
Des malades ayant peur de se rendre à l’hôpital préfèrent se soigner chez eux.
La région enregistre son plus grand nombre de décès dus au Covid-19 à un moment où flambent aussi des épidémies de choléra, d'Ebola et de maladie...
Le personnel médical est désormais confronté au flux incessant de jeunes en réanimation.
Des professionnels recommandent l’interdiction de la vente de certains médicaments sans ordonnance.
Des réseaux d’entraide se mettent en place pour faire face aux diverses difficultés liées à l’épidémie.
Le phénomène soulève l'épineuse question de la prise en charge des malades mentaux au Maroc.
Pendant la première vague, une augmentation des cas avait déjà été observée, liée à la crise économique causée par les restrictions.
L'alimentation est un allié des examens, à condition d’éviter les faux pas.
Les populations ont développé une psychose qui les emmène à refuser de se faire vacciner.