Pour l'heure, à peine un tiers des habitants est vacciné quand il en faudrait au moins 60 %.
L'objectif est de faire du pays une plateforme de biotechnologie à l'échelle du continent.
Des rumeurs évoquent des risques de mort après l'administration de ce vaccin et suscite l'épouvante chez les habitants.
Mais seules trois cent mille personnes ont reçu à ce jour une première dose de vaccin.
Ces craintes s'ajoutent à une difficulté d'approvisionnement en doses suffisantes de sérum.
Le débat émerge alors que l'épidémie flambe et que nombre d'Algériens sont réticents à se faire vaccin
Il a démontré une performance de seulement 47 %, alors que quatre cent millions de doses avaient été précommandées.
Un haut responsable de l'Agence européenne du médicament vient de faire une proposition dans ce sens.
Il rappelle que 11 milliards de doses sont nécessaires pour vacciner 70 % de la population mondiale.
Malgré son parcours chaotique, il est présent dans 168 pays dont plusieurs sur le continent africain.
De nouveaux centres de vaccination de proximité viennent d'ouvrir dans ce sens.
Pour cela il faudrait que 80 % de la population soit vaccinée et c'est loin d'être le cas.
Cela permettra notamment de renforcer l'offre de vaccins à destination des pays défavorisés.
Un taux d'au moins 40 % d'immunité collective devrait pour être atteint dans les prochaines semaines.