Nutrition-Alimentation
En Mauritanie, lancement d’une campagne de dépistage de la malnutrition
La campagne intègre des actions de supplémentation en vitamine A, et de déparasitage des enfants.
La campagne organisée en partenariat avec l’Unicef et l’OMS, cible 630 000 enfants de moins de cinq ans sur l’ensemble du territoire national. Dans un mot prononcé pour l’occasion, la secrétaire général du ministère a indiqué que cette campagne nationale de supplémentation en vitamine A et déparasitage, s’inscrit dans le cadre des programmes de lutte contre les carences nutritionnelles mis en œuvre par la Mauritanie avec l’appui de ses partenaires au développement, et qui constituent un problème majeur de santé publique dans la région.
A ce sujet, elle a souligné que le pays enregistre des taux de prévalence élevés, évalués à 15% chez les enfants de moins de six ans et une prévalence de l’anémie chez les enfants de moins de cinq ans de 74%, qui sont ainsi privés d’une bonne partie de leurs facultés immunitaires.
Toutefois, Mme Halima Ba a ajouté que le département de la santé et dans le cadre de la riposte nationale visant l’atténuation des effets de l’insécurité alimentaires et nutritionnelle, mène des actions cohérentes en termes d’amélioration des services de santé et de lutte contre la malnutrition des femmes enceintes ou allaitantes et des enfants au niveau des différentes structures sanitaires.
INFOS PRATIQUES :
Les services de santé en Mauritanie
Lire la suite sur AMI
- Hygiène4 mois
Porter des sous-vêtements serait nocif pour les parties génitales
- Astuces5 mois
Bome François: ce que vaut le «roi des baumes» camerounais
- Société6 jours
Les barbechas tunisiens, débrouillards exposés à tous les dangers
- Nutrition3 mois
Le moringa contient deux fois plus de protéines que le yaourt
- Bien-Être4 mois
Zoom sur le boukhour, l’encens qui relaxe et apaise
- Société5 mois
Ces maux qui collent à la peau des albinos
- Sexualité3 mois
Cristaux de menthe: pour plus de jouissance?
- Novembre bleu11 mois
Cancer de la prostate: une activité sexuelle régulière suffit-elle à prévenir la maladie?