Développement
La gestion des déchets biomédicaux, un enjeu de santé publique au Sénégal
L’hôpital dakarois de Fann vient d’être équipé d’un incinérateur d’une grande capacité.

L’hôpital dakarois de Fann vient d’être équipé d’un incinérateur d’une grande capacité.
Ils explosent. Les déchets biomédicaux (DBM), qui comprennent tous les les déchets issus des activités de diagnostic, suivi et traitement dans les domaines de la médecine humaine et vétérinaire, sont de plus en plus nombreux en Afrique. Car l’épidémie de Covid-19 a démultiplié le recours aux équipements de protection (masques, visières, gants, blouses…). Si bien qu’on estime que plus de 100.000 masques anti-Covid sont jetés chaque mois dans la nature, un peu partout sur le continent.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les déchets dangereux – qui sont composés de matières infectieuses, toxiques ou radioactives – représentent environ 15 % des déchets médicaux. Au Sénégal et dans beaucoup de pays africains, ce taux peut être revu à la hausse, en raison des mauvaises pratiques de traitement des déchets dans de nombreux hôpitaux du continent.
INFOS PRATIQUES :
Les services de santé au Sénégal
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