Questions internationales
Le certificat sanitaire européen, une discrimination pour les Africains ?
Les règles actuelles compromettent le traitement équitable des personnes vaccinées dans des pays bénéficiant du programme de solidarité Covax.
Les règles actuelles compromettent le traitement équitable des personnes vaccinées dans des pays bénéficiant du programme de solidarité Covax.
La polémique continue de s’amplifier. Alors que le « certificat sanitaire européen », qui entre en vigueur ce jeudi 1 juillet, est censé dispenser son titulaire d’un test supplémentaire ou d’une quarantaine à l’arrivée en Europe. Selon ces nouvelles règles spéciales Covid-19, les 27 pays de l’UE, plus Suisse, Liechtenstein, Islande et Norvège, sont tenus d’accepter sur leur sol les voyageurs vaccinés avec les quatre produits autorisés au niveau européen: ceux de Pfizer/BioNTech, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson.
Sauf que l’Agence européenne des médicaments ne reconnaît jusqu’ici pas le Covishield, la version de l’AstraZeneca produite par le Serum Institute of India (SII), l’un des principaux fournisseurs des pays en voie de développement via le dispositif international Covax. « Les règles actuelles mettent en péril le traitement équitable des personnes vaccinées dans des pays ayant recours au programme Covax, y compris dans la majorité des Etats membres de l’Union africaine », ont jugé dans un communiqué publié lundi l’UA et les CDC-Africa.
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