Société
Au Maroc aussi, le débat sur le droit à l’avortement est rouvert
Pour beaucoup, il a davantage sa place dans un Code la santé.

Au Maroc, l’avortement est passible d’emprisonnement sauf s’il est justifié par un danger pour la santé de la mère. C’est la seule exception prévue par le Code pénal en vigueur. L’abrogation des dispositions interdisant l’avortement ne fait pas débat au Maroc. L’interdiction de l’avortement a de nombreuses conséquences, dont le recours dangereux à des pratiques informelles, dans des conditions conduisant au décès de (jeunes) femmes suite à des avortements qui ne se déroulent pas dans les conditions médicales requises. Le sujet n’a pas sa place dans un code pénal, mais plutôt dans un code de la santé, plaide Rachida Tahiri.
INFOS PRATIQUES :
- Société4 semaines
Les barbechas tunisiens, débrouillards exposés à tous les dangers
- Nutrition1 mois
Le moringa contient deux fois plus de protéines que le yaourt
- Novembre bleu1 mois
Cancer de la prostate: une activité sexuelle régulière suffit-elle à prévenir la maladie?
- Société4 jours
Ces maux qui collent à la peau des albinos
- Bien-Être3 mois
Zoom sur le boukhour, l’encens qui relaxe et apaise
- Environnement4 semaines
Comment l’abattage des arbres menace la santé mentale
- Astuces3 mois
Canicule: les Tunisiens préfèrent vivre la nuit
- Santé publique2 ans
Toxicomanie : un centre de désintoxication ouvre dans la capitale camerounaise