Société
Au Maroc, un quotidien infernal dans les hôpitaux psychiatriques
Problème : l’absence de conditions de soins favorables.
Au Maroc, en matière de soins de santé mentale, le fossé est énorme entre le secteur public et le secteur privé. A Tit Mellil, l’hôpital psychiatrique d’Arrazi ne compte qu’un seul psychiatre pour 145 patients. La plupart des patients, y compris la majorité des jeunes, y sont traités pour schizophrénie. Le problème : l’absence de conditions favorables à la cicatrisation, dont l’accès est synonyme de coûts exorbitants. Depuis 2016, 50 000 nouvelles personnes atteintes de troubles mentaux ont été estimées.
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