Maladies Tropicales - Paludisme
Fièvre typhoïde : quels sont les meilleurs traitements ?
Au Cameroun, la question est l’objet de polémiques entre partisans de la pharmacopée traditionnelle et ceux de la médecine moderne.

Alors que les partisans de la médecine traditionnelle sont de plus en plus nombreux, le Dr Roger Etoa, médecin à Douala (Cameroun) revient sur l’importance de la médecine conventionnelle pour diagnostiquer la fièvre typhoïde.
Le traitement de la fièvre typhoïde est sujet à polémique au Cameroun. De nombreuses personnes croient que cette maladie potentiellement mortelle, qui est due à la bactérie Salmonella typhine, peut être efficacement soignée par la pharmacopée traditionnelle. Mais le médecin chef du port Autonome de Douala, Roger Etoa explique que la typhoïde est mieux traitée par la médecine conventionnelle. Il estime cependant que les solutions traditionnelles peuvent intervenir comme complément. Entretien.
AlloDocteurs Africa: Comment doit-on soigner la fièvre typhoïde ?
Dr Roger Etoa : D’abord pour soigner la fièvre typhoïde, il faut poser le diagnostic de celle-ci. Il se fait à l’hôpital. Dans une formation sanitaire, vous subissez des examens appropriés. Par chance, le germe de la fièvre typhoïde est un germe assez facile à détruire par des antibiotiques classiques. Mais pour l’heure, le diagnostic est difficile à établir car les symptômes de cette pathologie sont à l’origine d’erreurs de diagnostic.
Lire la suite sur AlloDocteurs Africa
- Hygiène12 mois
Porter des sous-vêtements serait nocif pour les parties génitales
- Astuces1 an
Bome François: ce que vaut le «roi des baumes» camerounais
- Société8 mois
Les barbechas tunisiens, débrouillards exposés à tous les dangers
- Nutrition11 mois
Le moringa contient deux fois plus de protéines que le yaourt
- Bien-Être6 mois
Zoom sur le boukhour, l’encens qui relaxe et apaise
- Sexualité7 mois
Cristaux de menthe: pour plus de jouissance?
- Société1 an
Ces maux qui collent à la peau des albinos
- Novembre bleu2 ans
Cancer de la prostate: une activité sexuelle régulière suffit-elle à prévenir la maladie?