Santé
Les femmes trans pourraient bientôt porter des enfants grâce aux greffes d’utérus
Le premier cas de greffe d’utérus remonte à 2014, en Suède.
Si le premier cas de greffe d’utérus remonte à 2014, en Suède, cette opération pourrait bientôt se démocratiser chez les femmes trans ailleurs dans le monde, selon les auteurs d’une étude publiée dans la revue Fertility and Sterility. Mais si cette chirurgie tend à se banaliser, elle n’en reste pas moins complexe.
Cette greffe nécessite en effet plusieurs interventions chirurgicales : d’abord une orchidectomie (ablation chirurgicale de testicules), puis une vaginoplastie, c’est-à-dire une intervention chirurgicale visant à construire un vagin et un clitoris artificiels (composés de tissus humains provenant d’autres organes).
Après une période de convalescence, la patiente pourra bénéficier d’une greffe d’utérus. Mais les chirurgiens devront disposer d’un utérus sain – doté du même groupe sanguin que la patiente – afin de procéder à l’implantation. Cet utérus pourra provenir, au choix, d’une femme décédée ou d’une donneuse vivante. Il sera ensuite inséré et greffé dans le corps de la femme trans.
- Hygiène6 mois
Porter des sous-vêtements serait nocif pour les parties génitales
- Astuces7 mois
Bome François: ce que vaut le «roi des baumes» camerounais
- Société2 mois
Les barbechas tunisiens, débrouillards exposés à tous les dangers
- Nutrition4 mois
Le moringa contient deux fois plus de protéines que le yaourt
- Bien-Être2 jours
Zoom sur le boukhour, l’encens qui relaxe et apaise
- Société7 mois
Ces maux qui collent à la peau des albinos
- Sexualité3 semaines
Cristaux de menthe: pour plus de jouissance?
- Novembre bleu1 an
Cancer de la prostate: une activité sexuelle régulière suffit-elle à prévenir la maladie?