Le phénomène soulève l'épineuse question de la prise en charge des malades mentaux au Maroc.
Pendant la première vague, une augmentation des cas avait déjà été observée, liée à la crise économique causée par les restrictions.
L'alimentation est un allié des examens, à condition d’éviter les faux pas.
Les populations ont développé une psychose qui les emmène à refuser de se faire vacciner.
Ce pays a été l’un des premiers en Afrique à mettre en place un système universel d’assurance maladie.
Comme dans quatre autres pays sub-sahariens, les droits des femmes à disposer de leur corps sont menacés.
Les praticiens marocains sont vent debout contre ce projet de loi gouvernemental.
Une situation liée à la chute des heures de travail et à l’évaporation d’emplois à travers le monde, selon l’ONU.
Entièrement prise en charge par l'Etat, elle couvre environ 620 000 personnes.
Une dizaine de boutiques viennent d'être scellées à Douala, la capitale économique.
Un objectif réaffirmé à l'occasion de la Journée nationale de l’enfant.
Cela serait dû en grande partie aux mariages précoces.
Si la loi y autorise l'IVG dans certaines circonstances, nombreuses sont encore les femmes qui perdent la vie à la suite d'un avortement clandestin.
Le coronavirus nous oblige à changer nos habitudes, quand il ne nous confronte pas directement à la mort.