Science
Le «coup de vieux» existe vraiment
Une étude démontre que la vieillesse n’a rien de linéaire: certains âges seraient propices à nous faire vieillir.
Vous avez le sentiment d’avoir pris un «coup de vieux»? C’est possible… Une récente étude tend à démontrer que la vieillesse n’a rien de linéaire et que certains âges de la vie seraient particulièrement propices à nous faire vieillir.
34, 60 et 78 ans. Voici les trois périodes charnières de la vie. Du moins selon une étude de la Stanford University School of Medicine publiée dans la revue Nature Medicine. Les chercheurs ont analysé les aspects du vieillissement afin de mettre en évidence des perspectives sur l’apparition de maladies liées à l’âge. Pour cela, ils ont observé de près les protéines plasmatiques (partie liquide du sang) de plus de 4000 individus âgés de 18 à 95 ans et relevé les différentes altérations de ces protéines. Résultat, des vagues de changements ont été mises en évidence au cours de trois décennies en particulier: la quatrième, la septième et la huitième. «Nous savons depuis longtemps que la mesure de certaines protéines dans le sang peut vous donner des informations sur l’état de santé d’une personne – les lipoprotéines pour la santé cardiovasculaire, par exemple, a déclaré Tony Wyss-Coray, professeur de neurologie et de sciences neurologiques ayant participé à l’étude. Mais nous ne savions pas qu’une grande partie d’entre elles subissent de brusques changements de concentration à certains âges.»
INFORMATIONS PRATIQUES :
- Hygiène6 mois
Porter des sous-vêtements serait nocif pour les parties génitales
- Astuces7 mois
Bome François: ce que vaut le «roi des baumes» camerounais
- Société2 mois
Les barbechas tunisiens, débrouillards exposés à tous les dangers
- Nutrition4 mois
Le moringa contient deux fois plus de protéines que le yaourt
- Bien-Être2 jours
Zoom sur le boukhour, l’encens qui relaxe et apaise
- Société7 mois
Ces maux qui collent à la peau des albinos
- Sexualité3 semaines
Cristaux de menthe: pour plus de jouissance?
- Novembre bleu1 an
Cancer de la prostate: une activité sexuelle régulière suffit-elle à prévenir la maladie?