Environnement
Pollution de l’air: les villes africaines les plus touchées
La concentration de particules fines est plus forte en saison sèche qu’en saison des pluies.

La qualité de l’air est mauvaise dans la ville de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, ainsi que dans les localités de Bobo-Dioulasso et Koudougou. C’est la conclusion d’une étude sur « la surveillance spatio-temporelle de la pollution de l’air due aux particules en suspension par les capteurs à faible coût au Burkina », menée par des chercheurs du laboratoire de physique et de chimie de l’environnement de l’université Joseph Ki-Zerbo et de Columbia aux Etats Unis.
A Ouagadougou, ces capteurs ont permis de prouver que les concentrations en moyenne journalière en polluants varient entre 17 à 36 microgrammes par mètre cube, renseigne l’étude. Sur tous les sites, les concentrations dépassent la valeur indiquée de la norme OMS qui est de 15 microgrammes par mètre cube, et les deux pics journaliers de pollution se situent entre 7h-8h et 19h-20h. L’étude révèle aussi que la pollution de l’air est plus forte en saison sèche (novembre-avril) et plus faibles en saison hivernale (mai-octobre).
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