Psychologie
Procrastination: ce qui se joue vraiment dans notre cerveau
Le cortex cingulaire antérieur s’active plus fortement lorsqu’il choisit de différer une tâche.
Des chercheurs de l’INSERM, du CNRS et de l’AP-HP, au sein de l’Institut du Cerveau (ICM) à Paris, ont identifié une région du cerveau impliquée dans la procrastination. Le cortex cingulaire antérieur, qui « calcule pour chacune de nos actions le rapport entre coût et bénéfice », s’active plus fortement lorsqu’ils choisissent de différer une tâche.
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