Psychologie
Bien-être: peut-on se confier au salon de coiffure?
Le tout c’est de savoir doser sa parole.
Le salon de coiffure est toujours un rendez-vous de détente et de légèreté. Les sujets de discussion sont des plus variés et sans tabou. La réputation de certains instituts se mesure même à la quantité de confidences qui s’y livrent. Si bien que l’idée d’impliquer les coiffeurs et coiffeuses dans des programmes de santé mentale a été toute trouvée. C’est le cas du programme Heal by Hair initié par l’ONG BlueMind.
Lancé dans quelques capitales (Abidjan, Lomé, Douala), l’idée de Heal by Hair est de faire des professionnels capillaires des agents secouristes de santé mentale, à travers les échanges qu’ils ou elles ont avec leur clientèle. La formation est délivrée gratuitement pour leur permettre de «reconnaître les premières manifestations ou l’aggravation de troubles mentaux, de savoir se comporter de façon adaptée pour entrer en contact avec la personne, gagner sa confiance et l’aider à s’orienter vers les soins adaptés», détaille AlloDocteurs.africa.
«Au salon de coiffure, on s’abandonne. Certaines personnes se sentent alors totalement désinhibés, déballant leur intimité de manière peu adaptée au contexte», ajpoute Psychologies.com. Si le média considère que bavarder chez son coiffeur ou sa coiffeuse peut être une forme de thérapie, il invite cependant à de la retenue, et à savoir doser ses confidences.
Cela dit, personne ne devrait se sentir obligé de parler pendant la séance de coiffage. Il suffit de clairement le faire savoir dès le départ.
- Hygiène6 mois
Porter des sous-vêtements serait nocif pour les parties génitales
- Astuces7 mois
Bome François: ce que vaut le «roi des baumes» camerounais
- Société2 mois
Les barbechas tunisiens, débrouillards exposés à tous les dangers
- Nutrition4 mois
Le moringa contient deux fois plus de protéines que le yaourt
- Société6 mois
Ces maux qui collent à la peau des albinos
- Sexualité3 semaines
Cristaux de menthe: pour plus de jouissance?
- Novembre bleu1 an
Cancer de la prostate: une activité sexuelle régulière suffit-elle à prévenir la maladie?
- Sexualité2 mois
Aphrodisiaques: pourquoi il faut en consommer avec (beaucoup de) modération