En cause, un accès limité aux services de santé, des systèmes de santé surchargés.
Faute de moyens, les malades se retrouvent face à des risques de complications.
Au Mali, entre 17 et 24 % de la population est concernée.
Entre 25 et 30% de femmes sont concernées en Afrique.
Le coût de l'opération et des pesanteurs sociales sapent l'espoir des malades.
Des chercheurs chinois ont réussi à prélever, reprogrammer puis greffer les cellules souches d’une patiente.
La technologie pourrait aider dans la prise en charge de cette maladie dégénérative.
Le taux de prévalence des jeunes de 15 à 24 ans y va de 0,4% à 2,4%.
En Afrique, entre 70 et 80% des femmes en âge de procréer sont concernées.
Malgré de nouveaux traitements, la maladie tue encore sur le continent.
Le pays se positionne comme un exemple dans la prévention contre ce virus.