Oui. Et on se demande pourquoi on n'y a pas pensé avant.
Le monde dispose déjà de deux vaccins antipaludiques à l’efficacité acceptée.
C'est le résultat de l'amélioration des systèmes de santé et des campagnes de vaccination.
Un second vaccin développé au Burkina Faso démontre une efficacité de 77%.
Le paludisme est transmis par l’anophèle femelle, et la dengue par le moustique aedes.
Son efficacité est remise en cause.
L’Union africaine a décidé de soutenir davantage les fabricants africains, en ciblant une maladie : le paludisme.
Au Mali, des chercheurs ont mis au point un piège anti-moustique à base de sucre.
Elle devrait constituer un remède complémentaire contre le paludisme.
L'Afrique représente 84% du fardeau mondial de cette maladie.
Les facteurs de risque sont pauvreté, surpopulation, malnutrition et humidité.