Sport-Bien Être
Et si l’activité physique passait d’abord par le cerveau?
Une étude révèle le rôle du cerveau dans notre propension à rester actif.

Le maintien d’une activité physique, essentielle pour la santé, passe avant tout par le cerveau. Une nouvelle étude révèle que, contrairement à ce que l’on pensait, de bonnes capacités cognitives préviennent l’inactivité physique, davantage encore que l’inverse.
Toutes les dix secondes dans le monde, une personne décède des conséquences de la sédentarité, soit 3,2 millions de personnes par an, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Et pourtant, on sait aujourd’hui avec certitude qu’une activité physique régulière (lire encadré) réduit les facteurs de risque pour la santé et protège de certains cancers, du diabète, des maladies cardiovasculaires, de l’obésité ou encore de la dépression.
Parallèlement, bouger augmente l’espérance de vie et le bien-être. Or, avec l’âge, on constate un déclin progressif de l’activité physique, mais aussi des capacités cognitives. La recherche s’est beaucoup intéressée à l’impact de l’activité physique sur la cognition, montrant des bénéfices sur la mémoire, mais aussi sur la croissance et la survie de nouveaux neurones.
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