Le pays ambitionne d'abriter le siège de l’Agence africaine de médicaments.
La maladie provoque des affections cutanées ou viscérales invalidantes.
Elles y constituent la première cause de mortalité.
La situation est telle que se sont créés de nombreux déserts médicaux dans le pays.
Une personne consomme en moyenne 12g de sel par jour contre de 5g recommandés par l'OMS.
Depuis 2015, le phénomène concerne 30% des hommes et 14% des hommes dans le pays.
Ils doivent être jetés dans des contenants hermétiquement fermés.
Grâce à une vaccination intensive, le nombre de cas actifs dans le pays est de 1600.
L’accès aux traitements et au dépistage connaît des avancées. Les deux tiers des personnes vivant avec le VIH dans le monde se trouvent en Afrique subsaharienne....
Le pays opte pour une dose de rappel pour contrer l’actuelle vague de contamination.
Une apparition qui survient alors que le pays a allégé les conditions d’entrée sur son territoire.
Hôpitaux défaillants, équipements obsolètes. Les blouses blanches manquent de tout.
Le pays compte environ quatorze médecins pour dix mille habitants. Ce qui est peu.
Même si le variant est réputé moins dangereux, il demeure très contagieux.
Un produit du terroir tunisien, incontournable au petit-déjeuner.
En cause, fondations et extensions en hauteur inadaptées.
Près de trois mille quatre cents cliniques privées sont illégales.
Faute de moyens, les malades se retrouvent face à des risques de complications.